Age Is… est une ode à la texture, la beauté, la singularité des visages et des silhouettes vieillissantes, un poème hypnotique au sens le plus « Dwoskinien » du terme, c’est à dire une observation minutieuse, passionnée et amoureuse des détails. Un geste, une pause, un regard, un moment. A travers ses films, l’intimité a toujours joué le premier rôle et cela est encore le cas dans « Age is… », tous les visages étant ceux d’amis proches, de leurs familles et même parfois de Stephen lui même.