L’incroyable aventure du Super 8 fantastique en France, dans les années 80, quand n’existaient pas encore les caméras HD, le 4K, les I-Phones, et que le seul moyen pour de jeunes réalisateurs de tourner des films était par ce seul biais. De nombreux cinéastes en herbe ont ainsi fait leurs premières armes en Super 8. Et parmi eux, les afficionados de ce que l’on ne nommait pas encore le « cinéma de genre ». C’est-à-dire les amoureux de fantastique, de merveilleux, d’onirisme, de science-fiction, de thriller, de films policiers, mais aussi les aventuriers d’un cinéma plus extrême : le cinéma d’horreur et ses débordements « gore », tantôt potaches ou effrayants.