« C’est cette idée de partage qui nous a plu en arrivant ! ». Ainsi parle le meilleur ami d’Hanna, vétéran comme elle du kibboutz qu’ils ont contribué à créer. Mais à l’âge de 80 ans, Hanna est poussée plus ou moins délicatement vers la sortie par la nouvelle génération. Les temps changent, les utopies sont désormais des souvenirs et la privatisation du kibboutz, au bord de la faillite, semble inévitable. Inévitable ? Pas pour Hanna qui va s’y opposer. Même si c’est sa propre fille qui orchestre le démantèlement de ce rêve de toute une jeunesse