Un film-à-sketches en hommage au légendaire Art du Grand Guignol réunissant sept cinéastes de l’horreur.
THE MOTHER OF TOADS, de Richard Stanley. En France, un couple de vacanciers rencontre une sorcière qui prétend posséder une copie du Necronomicon. Le grand retour du réalisateur de Hardware.
I LOVE YOU, de Buddy Giovinazzo. Une femme annonce à son mari qu’elle le quitte. Un huis-clos tragique et grinçant qui se déroule intégralement dans l’appartement d’un couple.
THE ACCIDENT, de Douglas Buck. Une mère et sa fille sont témoins d’un accident de la route. Une méditation sur le sens de la vie, par le réalisateur de Family Portraits.
WET DREAMS, de Tom Savini. Une femme blessée se venge de son mari infidèle. Par le maître des maquillages et des effets spéciaux (Maniac, Vendredi 13, Zombie…).
VISION STAINS, de Karim Hussain. Une tueuse en série extrait les souvenirs de ses victimes à l’aide d’une seringue. Par le Canadien fou responsable de Subconscious Cruelty et de la photo de Hobo with a shotgun.
SWEETS, de David Gregory. Un couple obsédé par la bouffe consume son amour. Un chewing-gum plein de colorants, tendance vert vomi. Bon appétit !
THEATRE GUIGNOL, de Jeremy Kasten. Une salle de cinéma se transforme en véritable théâtre de pantins sous l’égide d’un automate. Le fil conducteur des segments, dans lequel on retrouve l’immense Udo Kier.