Un journaliste interroge un poète à l'occasion de la sortie d'un nouveau livre. Au cours de leurs échanges, l'auteur raconte qu'il préfère poétiser non sur la feuille mais directement dans les cerveaux, dans l'espoir d'engendrer une oeuvre vivante aux situations imprévisibles. C’est ainsi qu’il raconte avoir inventé le métier d’accordeur d’animaux.